C’est à une tortueuse plongée dans l’univers de Hans Henny Jahnn que le public de Parvis était invité mardi soir. Pauvreté, richesse, homme et bête est un texte écrit en 1933 et publié après la guerre qui n’avait parait-il jamais été monté sur une scène française. C’est maintenant chose faite par Pascal Kirsch qui le met en scène dans une ambiance tortueuse quelque part entre les fantômes de Macbeth et l’univers clos de la Maison de poupée d’Ibsen. Un huis-clos à ciel ouvert où se mêlent l’amour, la jalousie, l’infanticide sous le couvercle des mensonges, des secrets d’un monde paysan isolé au fin fond des montagnes norvégiennes qui vont fermenter pendant une dizaine d’année pour n’en sortir que plus amers et plus tenaces. Une longue période concrétiser pour les spectateurs par plus de trois heures de spectacle ou le destin des humains est aussi tourmenté que le relief de la Norvège et aussi isolé que l’Ile de Bornholm sur laquelle l’auteur allemand s’était réfugié pour fuir le nazisme au pouvoir. Un texte superbe qu’on découvre dans l’écrin sombre et étincelant de la mise en scène de Pascal Kirsch.
C’est dans une atmosphère qui ressemble à un conte noir que Pascal Kirsch a invité le public du Parvis mardi soir, à peine plus d'un an après sa création au Festival d'Avignon.
C’est dans une atmosphère qui ressemble à un conte noir que Pascal Kirsch a invité le public du Parvis mardi soir, à peine plus d'un an après sa création au Festival d'Avignon.
C’est dans une atmosphère qui ressemble à un conte noir que Pascal Kirsch a invité le public du Parvis mardi soir, à peine plus d'un an après sa création au Festival d'Avignon.
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C’est dans une atmosphère qui ressemble à un conte noir que Pascal Kirsch a invité le public du Parvis mardi soir, à peine plus d'un an après sa création au Festival d'Avignon.
C’est dans une atmosphère qui ressemble à un conte noir que Pascal Kirsch a invité le public du Parvis mardi soir, à peine plus d'un an après sa création au Festival d'Avignon.
C’est dans une atmosphère qui ressemble à un conte noir que Pascal Kirsch a invité le public du Parvis mardi soir, à peine plus d'un an après sa création au Festival d'Avignon.
C’est dans une atmosphère qui ressemble à un conte noir que Pascal Kirsch a invité le public du Parvis mardi soir, à peine plus d'un an après sa création au Festival d'Avignon.
C’est dans une atmosphère qui ressemble à un conte noir que Pascal Kirsch a invité le public du Parvis mardi soir, à peine plus d'un an après sa création au Festival d'Avignon.
C’est dans une atmosphère qui ressemble à un conte noir que Pascal Kirsch a invité le public du Parvis mardi soir, à peine plus d'un an après sa création au Festival d'Avignon.
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